Nani Champy-Schott18 Rue François Coppée78370 Plaisirtel. et fax: 01.30.54.10.44e-mail: nani.champyschott@orange.fr
Pièces en permanence :Galerie Capazza Nançay
Née en 1959 à Ulm/ RFA1980-1984 “Freie Kunstschule” (école d’arts, section céramique) Nürtingen,RFA1984-1986 École des Arts Appliqués et des Métiers d’Art, Paris, France1986 Atelier avec Claude Champy à Plaisir, FranceStage chez Camille Virot FranceMembre le L’Académie Internationale de la Céramique
EXPOSITIONS:
1998 Galerie Hamelin,Honfleur, FranceGalerie Nadia B., Dieulefit, France1999 Rathausgalerie, Hüfingen RFA2000 Galerie G. Godard, Lille, France2001 Galerie Keramikum, Darmstadt RFAKeramikbienale, Chateauroux, FranceGalerie”Keramik und Animation” Zürich, Suisse2002 Galerie Loes & Reinier, Deventer, Pays-Bas2003 Galerie Orme, Paris, France2004 Galerie “goedwerk,” Zulte, BelgiqueGalerie Keramikum, Darmstadt, RFA2005 Galerie H.Holstein, Bremen, RFAgallery Kouei-Gama/ Tokonamé, Japon2006 séjours de travail à Fuping, Chine2007 galerie Loes & Reinier, Deventer, Pays-Bas2008 musée du Westerwald, Höhr-Grenzhausen, Allemagne2009 galerie G.Godard, Lille, France2010 galerie “La Mairie” Hüfingen, Allemagne2011 « la tannerie » Houdan, France2012 Symposium Raku, GiroussensKeramikum, Darmstadt, AllemagneSalon « résonnances », Stasbourg2013 centre de ceramique, La Bornegalerie accroterre, Paris
Organise depuis 16 ans avec l’équipe Paris Potiers “les journées de la céramique” Place St Sulpice, Paris
«Œuvres récentes»2 – 19 octobre 2013À l’inverse du Petit Poucet de la fable, Nani Champy semble avoir ramassé, lors de ses récentes promenades en forêt, toute un assortiment de graines, de roches enrobées de lichens et de mousse, de champignons aux couleurs automnales et de pierres longuement polies par l’eau des ruisseaux figée dans les enroulements d’écume. Tout ce petit monde se retrouve ici afin de témoigner de sa sensibilité à la nature et de sa virtuosité dans le traitement des surfaces et des émaux.Car, derrière ce rendu naturel, l’apparente simplicité d’une texture ou d’une couleur, se cache, comme toujours, une grande maîtrise des matériaux utilisés. Mais combien de cuissons et d’enfumage, quels fours et quelle température pour obtenir ces effets ? Cela compte, certes, mais passe au second plan devant cette invitation faite tout naturellement de flatter une courbe de la main, de goûter au soyeux d’un émail. Et l’on se prend à vouloir sentir les pièces comme pour retrouver des odeurs de terre fraîchement remuée ou de feuilles qui se décomposent.Voilà une manière poétique de nous rappeler la saison qui débute, ce que chacun appréciera à sa juste valeur puisque seuls les côtés les plus sensuels en sont évoqués.Eric Berthon